Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.
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Ces deux balles triturant son corps le faisait atrocement souffrir maintenant. Il voyait le visage de Pablo Escobar le supplier de ne pas déserter son poste et de résister aux forces de la CIA, venues les assaillir sur leur terre natale. Les boulets des chars d’assaut américains secondant la milice colombienne ne firent qu’une bouchée de leur château fort et c’est in extremis que Carlos s’enfuit, abandonnant son chef à la mort.
Le Colombien chercha partout son cellulaire avec ses mains entachées de sang. Il songea que seul Anthony Locas pourrait l’aider maintenant. C’était ce dernier qui était véritablement responsable de ce qui arrivait. C’est lui qui l’avait envoyé dans cette mission de vengeance contre Ariboudine Amy ? Des images de la villa d’Anthony complètement détruite par cet hélicoptère, équipé d’une mitrailleuse et dépêché par Ari lui revenaient en tête alors qu’il tentait en vain de stopper l'hémorragie lui parcourant les entrailles.
- Tony viendra à mon sécours, se persuada-t-il. Il me doit bien ça.
Carlos l’avait sauvé d’une mort certaine alors qu’il baignait dans son sang au bord de la piscine couronnant sa fastueuse résidence sise sur les berges d’une immense plage privée de l’île de Margarita ?
- Chacun son tour, pensa-t-il. Il doit mé venir en aide ahora.
Il réussi à attraper finalement son téléphone et composa celui de son grand ami.
- Amigo ! Por favor. J’é t’en prie, il faut que tu m’aides…
- Carlos ! Carlos où es-tu, mon ami ?
- J’é suis dans les escaliers.
- Les escaliers ! Quels escaliers ?
- Les escaliers conduisant au toit, merda.
- Hein ! Quel toit ?
- Lés toits de TFr7, crétine.
- Je ne comprends pas, Carlos. Que se passe-t-il ?
- J’é suis blessé, amigo. Il faut que tu viennes mé secourir. J’é t’en pries.
Carlos revit dans un flash sa Claudi nue et offerte à son plaisir. Maintenant qu’elle avait joui, il l’entraina vers la chambre de sa suite, plongeant son regard sur le Greater Montreal. Il l’assied sur le bord du grand lit et lui présenta son phallus à sucer. Il était beau comme un Dieu ce Carlos. Sa tête aux cheveux noirs frisotait beaucoup d’insolence tandis que ses pectoraux gonflaient une machine musclée, prête à donner des montagnes de virilité. Son organe, quant à lui, n’avait rien à envier aux vedettes des meilleurs films porno et c’est tout naturellement qu’elle le porta à sa bouche.
- Ouhhhhhhhhhhhhh ! Soupira le bonhomme électrisé.
Elle avait enjoint sa main à sa bouche pour caresser avec vigueur le membre érigé du caïd. Telle une professionnelle, elle retenait avec son autre main la bourse du type qui la regardait d’en haut, procéder à toutes ces petites bassesses, en bas. Elle se pencha pour laisser le pénis s’allonger le long de sa bouche gourmande, terminant sa course sur le gland qui tournait déjà au mauve. Le jeune homme s’activa tout à coup plongeant son organe au fond de la bouche de la demoiselle et répéta ce mouvement dans un impeccable silence. Elle avait pris goût à la chose puisqu’elle accompagnait chacun de ces mouvements par une vive masturbation, créant tout un émoi chez le Colombien, redressé quasiment sur la pointe de ses pieds et au bord de déverser le contenu de sa prestation.
Cette suite en avait vu d’autres, à n’en point douter, mais là, devant la splendeur de Claudi, les lentilles des caméras d’un réalisateur doué pour tourner ce genre de film, aurait vite vu un voile de brume s’intaller.