Voici mon billet (en avance) pour demain samedi.
L'établissement ou si vous préférez, la construction d'un univers fictif relève d'un défi extraordinaire. Dieu lui-même a mis sept (7) jours pour établir les bases du monde dans lequel nous vivons. Bah ! Personne n'est en mesure de prouver cette assertion, mais bon ! Why Not !
Serez-vous surpris d'apprendre que j'ai mis plusieurs mois à fignoler l'univers dans lequel Ari et Claudi évoluent ?
- BAh ! On s'en balance. Nous, ce qu'on veut c'est s'amuser !
- Écoute mec ! Tu ne trouves pas que tu vas chercher ça un peu loin, là ? Dieu et son machin !
- Ben moi, je vous le dis. Tout ça, c'est de la foutaise.
- J'allions le dire ! On n’y croit pas du tout à c'histoire. C'est tiré par les cheveux, ça se voit, quoi !
- Cher ami ! C'est avec un intérêt non dénué d'un sens pratico-pratique qu'il faut considérer l'essence par delà la moelle substantifique du projet qu'on nous propose ici.
- Oui ! oui. Je le pense. Je crois. Il faudrait contempler cette oeuvre dans son entité, supputant les conséquences et implications sociales qu'elle soutient.
- MOI ! Je dis ! Vive l'anarchisme et au diable les conneries. Qu'elle se déshabille, merde !
Pardon, chers lecteurs, nous stoppons ici les commentaires tirés de propos qui ont meublé notre blogue tout au long de sa composition. Comme nous le voyons, la fiction est du domaine aléatoire et plusieurs la considèrent même surérogatoire. On ne peut leur en tenir rigueur.
Bon week-end à vous.