J'ai pas eu le temps...
Vous pouvez toujours vous lamenter sur le mur des lamentations....
J'ai pas eu le temps...
Vous pouvez toujours vous lamenter sur le mur des lamentations....
C'est une bonne balade en vaisseau quand même...
et nous avons navigué de jour et de nuit.
Remarquez qu'à bord, on peut se divertir.
Salle de spectacles,
Casino,
Bars,
Spas et salle d'exercice,
piscines.
voiture de course en 3 D
et bronzage.
Ah oui ! Istanbul. On y arrive...
Istanbul s'étend sur deux rives que le Bosphore sépare.
C'est grand Istanbul et peuplé aussi.
L'un des joyaux de cette ville est évidemment
la Mosquée Bleue
que des milliers de personnes visitent chaque année.
et qui sert encore aujourd'hui.
D'ailleurs les tapis que nous voyons ici recèlent
encore les odeurs des pieds qui les foulent...
Le Grand Bazar est à ne pas manquer de voir.
Des centaines de commerçants vendent des milliers
d'objets dans un marché fait de dizaines de rues
toutes recouvertes.
Revêtu du costume traditionnel, un homme
se laisse photographier.
Partout on retrouve des tapis à vendre.
et beaucoup de touristes.
La suite à Santorini.
Aussi bien vous le dire tout de suite, on pas vu grand-chose de Corfou, c'était une escale obligée pour Istanbul.
C'est une très belle île au large de la Grèce.
Nous avons visité un ancien monastère, construit en 1280. Comme vous le voyez, nous étions... trop de monde...
Par contre, ce vieux fort, devenu un musée offrait
une vue imprenable sur 360 degrés,
Pourvu que vous montiez...
à pied. Là, il n'y a avait personne.
Toutefois, à mi-hauteur, nous
avons fait une courte halte pour goûter
au vin du pays.
La vue était effectivement saisissante.
Et c'est le retour au navire.
On aurait souhaiter monter à bord du Fantasia
à partir de Nice, mais c'est à Gênes qu'il fallait
aller pour débuter notre croisière.
L'autocar prend quand même 2 h et 15 minutes
pour parcourir la distance.
Voilà qui me permettait de prendre des photos
sans problème.
Malheureusement, je n'ai aucune idée de quelle ville
il s'agit. Vous reconnaissez ?
Par contre, nous avons traversé, je ne sais plus
combien de tunnels.
On m'a dit qu'entre Nice et Gênes, il y a quelques
200 tunnels.
Et voici Gênes.
Et le Fantasia qui nous attendait au port.
Gênes possèdent un port de 15 km de long.
Ce vaisseau peut recevoir 3 300 invités
et 1 700 équipiers.
On y trouve 17 ascenseurs et 20 bars.
Plusieurs piscines et spas s'ajoutent aux
nombreux restaurants à bord.
Du haut de notre chambre au 13ie étage, nous quittons pour Corfu.
Bye Gênes !
Voici la vue de notre suite à l'hôtel sur le port Hercule
à Monaco. Nous sommes arrivés depuis Nice avec une
voiture de location. Il pleuvait et n'eut été le GPS
on aurait pas trouver l'hôtel...
La vue au matin alors que le ciel se dégage.
Comme vous vous en souviendrez, c'est dans ce port
que mouille le Princess Dream. Hélas ! Il devait être au large,
car nous ne l'avons pas vu...
On ne peut pas voir Monaco et manquer le Casino.
Le luxe est plus qu'apparant dans cette
principauté.
Les voitures de collection font grand étalage.
Construite sur un rocher, la ville ne manque pas de charme,
mais tout est en hauteur.
Le célèbre Lady Moura mouillait comme toujours
au port Hercule.
Me voilà, me prenant pour un capitaine...
Un passage obligé aux Galeries du Métropole, là
où Claudi a vu l'impact de sa réputation sur les gens.
C'est une belle ville, mais de là à y vivre...
Nous n'avons fait qu'un saut de deux nuits et cela pour
accourir de nouveau à Nice où un autocar nous
conduisait à Gênes,
là où le MSC Fantasia nous attendait pour une croisière
sur la Méditerranée.
Suite, demain.
Vous la reconnaissez...
Une fois laissé sur le quai par le vaporetto, nous nous sommes
retrouvé à l'entrée de l'hôtel que nous avions réservés...
sur internet...
Ah ! Vous avez remarqué, vous aussi, que l'éclairage est
déficient.
Ma compagne voulait me tuer, m'accusant de la trainer
dans les bas fonds de l'Italie mafieuse et...
nous avons donc monté avec nos grosses valises jusqu'au troisième étage de ce building, à pied du pont Rialto.
Ma tendre moitié indignée de cette réception alors qu'elle avait tant insisté pour voir Venise voulait foutre le feu à la baraque.
- Non, mais, tu as vu dans quel trou tu nous amènes ? Si tu penses que je vais rester ici une minute de plus...
Arrivés au troisième, nous avons timidement entrouvert une porte pour y découvrir un jeune homme derrière son ordinateur.
- Est-ce le Palazzo ?
- Benvenito !
La publicité, disait : vue sur le Rialto.
- Ben voilà ! Je te le disais ! lui dis-je, au petit matin. Le pont est là.
HAaaaaaaaaaa ! Venise. Il faut y aller pour le croire.
Ils sont complètement fous ces Italiens,
mais... ils ne s'en rendent pas compte.
Les rues (si on peut appeler ça ainsi) sont...
- Bah ! Elles ne sont pas larges. Voyez.
- Et les canaux...
Ils sont... sympathiques...
Mais la cathédrale San Marco, érigée en 824 est un joyau
à ne pas manquer.
Enfin !
Venise est à voir absolument, mais n'arrivez pas la nuit et munissez-vous d'une boussole, une carte et un GPS. Si vous pensiez que Paris est un labyrinthe...
Ne cherchez pas un guide, à moins que... vous soyez perdu. Bonne chance.
N'hésitez pas !
Allez visiter également Burano et Murano avec leurs maisons insolites, peintes de toutes les couleurs.
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Versailles.
Même fermé en ce lundi, il ne fallait pas aller à Paris sans voir Versailles
Ce n'est pas un château, ni un palais, c'est un monstre. Un monstre de beauté. Maintenant je comprends que Versailles ait inspiré autant, et ce, jusqu'à aujourd'hui.
C'est complètement fou ce qu'on retrouve à Versailles. La démesure prend tout son sens ici.
Louis XIV a empreint pour toujours le domaine des Arts, de l'architecture et de l'aménagement paysager. Dans 20 siècles, on admirera encore la marque qu'a laissée ce roi sur le monde.
Et alors qu'on pense avoir tout vu...
Apparaît ce joyau (entre autres) à l'orée des jardins anglais et du Petit Trianon : le temple de l'amour.
On raconte qu'une photo prise sous ce temple scelle un amour éternel...
Pure affabulation ! Pensez-vous !
Et voici le Petit Trianon, offert par Louis XVI à Marie-Antoinette.
Auparavant, Louis XV avait offert le château à la pauvre Marquise Pompadour, morte avant la fin des
travaux et c'est la comtesse Du Barry qui l'inaugura finalement.
Le Grand Trianon, quant à lui, a servi de résidence privée.
On y logea même le Président Nixon en 1969,
mais cela ne l'a pas empêché d'être destitué.
On trouve même un tronc de chêne qui date de l'époque d'Antoinette.
Ce n'était qu'un survol, mais le souvenir
sera impérissable.
Ne manquez pas la suite : Venise
Bien ! Et maintenant... que vais-je faire ?...
Et maintenant ! Que sera ma vie...
Sans mon guide !
Quelle rue vais-je prendre ?
Où vais-je ?
Ici, là ? Paris est un labyrinthe, vous le saviez ?
Je me demande si Hausmann avait vu sa ville ainsi ?
Tout est à voir à Paris, et ce, sur presque toutes les avenues.
Prenant mon courage à deux mains, j'ai pris une grande décision... allons-y au gré du vent. Voilà du courage !
Pas piqué des vers ce bâtiment de l'hôtel de ville.
Il ne fallait pas rater la Seine qui
justement mettait en scène
des dizaines de couples amoureux
trop heureux de voir enfin le soleil
faire son apparition...
et nous avons passé devant le Musée d'Orsay, sans le savoir.
Je sais ! Nous sommes des touristes.
MAIS ! Attendez là ! Elle ne va pas sauter, quand même ?
QUI ?
Mais la bonne femme juste là !
Ouf ! Elle a dit non ! Je lui ai fait remarquer que
j'avais sa photo sur mon iPhone...
Allons prier ! Maintenant à
la cathédrale de Notre Dame pour remercier le sauveur...
et dans un dernier sprint de la journée, accourons à la tour Eiffel, pour voir...
la foule attendre en rang.
Demain sera une meilleure journée.
Ah ! La vie de touriste : vraiment pas facile.
Et la voici, la voilà, Miss Poppins, parapluie ouvert, notre guide en compagnie de ma tendre moitié.
Hélas ! Paris ressemblait à Londres sous la pluie.
Et c'est d'un pas allègre que nous nous sommes
rendu à la place Vendôme.
C'est là que Danton a investit la Chancellerie royale. Pauvre
Louis XIV, il a engloutie 2,3 millions avant de céder les
terrains adjacents et éviter de perdre la face...
On y trouve aujourd'hui de grands bijoutiers
Aussi, j'ai accéléré le pas, histoire d'échapper à la tentation... de ces dames...
Et on a sauté dans le métro...
Pour se rendre
au Sacré Coeur admirer
toujours sous les nauges... la vue de Paris.
Et nous avons gagné la très belle place du Tertre
Là ou des
gens fortunés
peuvent
établir
leur
quartier
Et après un copieux dîner avec Miss Poppins et son mari, nous avons gagné le Moulin Rouge.
Vous remarquerez au passage que cette photo vacille quelque peu... Hum ! Je me demande bien pourquoi ?...
Arriver à Paris n'est pas simple, mais y descendre la nuit ;
voilà qui n'arrange pas les choses...
Qu'à cela ne tienne, il faut ce qu'il faut !
Et la tour n'en n'était que plus belle sous la bruine et la brume.
Au matin, les nuages s'accrochaient encore au dome du Sacré Coeur...
et déjà à la Gare du Nord les gens accouraient prendre
l'un des trains ou s'amener à leur travail.
Pour nous, c'était les vacances dont nous avions tant
rêver. Faire une virée de reconnaissance en Europe
et peut-être choisir notre future destination, sans courir,
cette fois...
Sous l'habile surveillance d'un guide (j'y reviendrai), nous avons
évidemment rendu une visite au Louvre. À tout seigneur, tout honneur !
La pyramide de verre attendait sagement depuis l'aube
ses nombreux visiteurs. Hélas ! Pour nous, nous avions tant à voir
qu'une visite à l'intérieur était impossible...
Notre guide (qui n'a pas froid aux yeux), nous entraine vers ce
lieu étrange de la Comédie française où se dressent des
colonnes tronquées, invitant (comme cette demoiselle) à
reposer son postérieur ou comme nous, à demeurer perplexe.
Voilà qui sembla amuser cette dernière ; c'est que notre guide
est féminin, vous l'aviez deviné !
Non loin, elle nous fit découvrir ce petit trésor (Palais Royal) dont le coeur est un
immense jardin bordé d'arbres taillés comme des sculptures.
Une certaine excitation s'empara de notre coryphée, car elle
savait que la prochaine étape nous ferait grand plaisir. Souvent, les touristes passent tout à côté bien, car ils sont bien cachés. Les passages.
WOW !
Il y en a
des
dizaines.
Et l'heure de la bouffe a sonné. Pourquoi ne pas manger dans un monument historique : plein de monde.
Chez Chartier.
Après ce repas, nous poursuivrons...