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  • : Ari Amy
  • : Description : Soyez le bienvenu ! Il y a dans les pages qui font ce blogue tout l'univers d'Ari Amy, ce milliardaire qui a fait fortune à vendre, ce qu'il aime appeler, du matériel stratégique. Il sera dévié de son parcours mouvementé par Claudi Robert, cette jeune beauté venue changer les règles du spectacle avec son idée du Jeu Mondial. À sa grande surprise, les entreprises du caïd vont se diversifier et suivront, tout comme sa libido endormie, une route manifestement imprévue.
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  • Robert Alair
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 03:00

imageMe voilà enfin de retour après 29 jours, des milliers de kilomètres en avion, en bateau, en auto et à pied, six (6) avions, une pléiade d'hôtels et autant de restaurants, 20 villes et six pays ainsi que le désenchantement de voir que les services internet sont déficients à beaucoup d'endroits, notamment en croisière sur la Méditerranée. Nous avons cumulé 2 800 photos et plus de trente films.

 

Je compte dans les prochains jours faire un survol de mes pérégrinations (photos à l'appui) pour votre plus grand plaisir.

 

J'ose espérer fermer le clapet à mes détracteurs qui souhaitaient presque me voir crasher et ainsi les voir se mortifier de gêne.

 

C'est avec un plaisir renouvelé que je retrouverai mes fans dévoués et me permettrai de répondre à tous les commentaires.

 

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 17:06
Je serai de retour samedi. Soyez patient...
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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 23:50

croisiere-sur-le-nil-en-egypte--5-La recherche de la beauté est une quête que le Créateur ne s’est pas privé d’imposer à la genèse de son œuvre. À contrario, lorsque le Maître se promène de par son vaste univers, il est comme un géant qui piétine la pelouse : il n'a pas le temps de se soucier des fourmis qu'il écrase...

 

Ariboudine Amy, ce revendeur de matériel stratégique, comme il aime à se définir, ne se prend pas pour un dieu, mais il revendique ce qu’il sait lui revenir à juste titre. Les êtres d’exception qui naviguent les mers et océans de notre planète ne pullulent pas et ceux qui réclament un statut de caïd ne se laissent pas impressionner par les soi-disant bons pensants : ils foncent.

 

Ari n’a pas le loisir de s’éterniser en vain bavardage. Pour lui, le temps court et la chance de profiter des occasions vont lui manquer malgré tous les artifices qu’il conjuguera pour contrer l'impondérable. Cet humain sans âme inéluctablement vouée à la décrépitude et sans espoir de survivre à cette déchéance devra mettre les bouchées doubles pour accéder à un échelon supérieur et donner un sens à sa vie.

 

Il se plaindra que la joliesse est un cadeau empoisonné, que cela lui coûte la peau des fesses et que trop souvent ces créatures de rêves ne valent pas autant de peine. Il rajoutera en boutade :

 

- Comment écarter ces démons qui nous tiennent par la queue ?

 

Que dire de Claudi Robert ; véritable sylphide du canon féminin, égérie d’un homme qu’elle ne voudrait pas avoir à présenter à sa mère. La beauté lui servira-t-elle vraiment ?

 

La vie fonctionne-t-elle vraiment au mérite ?

 

Ari incarne quelque part ce sphinx évoluant à un échelon supérieur, mais sans légitimité. En réalité, il n’y a pas de vraie place pour lui. Il représente cette créature indépendante qui soigne son manque d’amour en s'attribuant des privilèges en marge des autres. Il n’aspire pas à dominer ses semblables, il voudrait juste de la reconnaissance ; celle que tout être humain souhaite se voir accorder. Cet air princier qu’il cultive n’a d’égal que sa volonté de plaire. D’aucuns diront que tout cela est pathétique.

 

Pour revenir à Claudi Robert, cette créature de beauté ennoblit par sa recherche de l’authenticité, elle n’aura pour se défendre que sa jeunesse, héritage que surestiment grandement ceux et celles qui l’ont côtoyé et qui la côtoient encore. La beauté est rare. Elle ne s’explique pas, elle s’impose. Certains lui ont trouvé des vertus mathématiques que nous nous sommes amusés à rendre dans le premier volet des longues aventures d’Ari Amy et d’autres, comme la majorité d’entre nous, s’y soumettent, magnifiés par cette aura que projettent malgré eux ceux qui possèdent cette qualité intrinsèques que nous leur envions tous. Il y a des beautés sauvages aussi changeantes que leur humeur et des Claudi sylphide, véritable tanagra, canon de l’esthétique. Certes, nous aimons la désinvolture, mais apprécions encore plus l’humilité quand elle est supportée par la grandeur d’âme et c’est bien ce qui caractérise cette jeune demoiselle. Nous sommes doublement touchés.

 

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 22:30

Mediterranee-Hotel-Taormina-Guest-Room-9.jpg

Ils ne se firent pas prier longtemps et, suivant religieusement le garçon, ils gravirent les marches les conduisant à une pièce magnifiquement décorée. Claudi et Stewart s’aventurèrent au balcon pour admirer le panorama tandis que discrètement le chasseur disparaissait. Au loin, la Méditerranée s’épurait de remous bleutés, prolongeant ses vagues jusque dans les nuages. La mer se fondait dans l’horizon. Appuyés à la rampe, les deux amoureux contemplèrent le spectacle quelques instants avant que leurs mains complices se rejoignent.

 

De retour vers la chambre, Stewart se contenta de tirer les rideaux devant les portes ouvertes. Claudi, soudainement gênée, s’échoua sur le grand lit. Ses cheveux ondoyants renversés à même le couvre-pied blanc scintillaient sous la lumière. Elle tendit les bras pour inviter Stewart à s’allonger ; ce qu’il fit sans hésiter. Les yeux dans les yeux, ils fusionnèrent leurs regards dans une même étreinte pour finalement couronner leurs appréhensions par un très long baiser.

 

Des oiseaux-mouches firent une brève apparition dissipant l’air de leur vol magique et l’atmosphère embaumée d’effluves accompagnait leurs chants ténus sous le bruissement de feuillage odorant. Lentement, le jeune homme entreprit de défaire les boutons du chemisier de Claudi. Le soutien-gorge laissa pigeonner ses seins rebondis tandis que, fébrile, sa poitrine se soulevait. L’excitation gagna le couple qui s’empressa de se débarrasser de tous leurs vêtements. Les baisers fusaient, dévorant la chair de caresses et de touchers. Bientôt exalté, tel un ange descendant du ciel, Stewart monté sur elle joignit son membre surexcité à la chaleur de l’antre de sa compagne. Un souffle de plaisir envahit les deux amoureux, engageant un mouvement de va-et-vient dans un impeccable silence. Seul le battement de leurs deux cœurs scandait un rythme concordant et tacite. Le vent léger soulevait doucement les rideaux, baignant toute la pièce d’une lumière intangible. Finalement, les tourtereaux s’essoufflèrent dans un orgasme incontrôlable et sombrèrent paisiblement dans les bras de Morphée, réunis sous les draps. La nuit claire et douce se joignit à eux, les recouvrant d’un ciel étoilé, propice au repos.

 

 

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 22:00

Pour tous ceux qui arrivent ici (par hasard) et qui lisent la PRÉSENTATION, vous vous demandez probablement : qu'est-ce qui se passe ?

 

Où est Ari Amy et, où se trouve la belle Claudi et cette promesse de lire leurs aventures (érotiques peut-être) ? Pourquoi trouvons-nous des articles qui n'ont rien à voir avec les aventures qu'on nous promet ?

 

Alors voilà ! Il se trouve que caché derrière toutes ces promesses, il y a un auteur et que celui-ci, après avoir livré des centaines de pages se demandent s'il doit continuer d'alimenter ses insatiables lecteurs. Il appert également que le but de ce blogue a échappé aux volontés de celui qui le compose. Le but étant une publication prochaine. Sachez qu'un nombre impressionnant d'éditeurs ont refusé de porter l'oeuvre sur le marché.

 

Évidemment, vous comprendrez qu'un écrivain qui ne publie pas n'est pas un écrivain. Par conséquent, il se demande s'il n'est pas passé à côté du but fixé. Tant et si bien, qu'il se demande s'il ne devrait pas reviser (pour la xie fois) la manière dont il a présenté et composer tout son manuscrit.

 

Chers amis, votre humble serviteur (le géniteur d'Ari Amy et de Claudi Robert) est en réflexion.

 

C'est ainsi que vous avez droit à des articles et billets qui peuvent vous dérouter. N'en prenez pas ombrage. 

 

princess-fume

 

 

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8 septembre 2012 6 08 /09 /septembre /2012 22:00
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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 22:00

Le moins qu'on puisse dire, c'est que les Galeries du Métropole ne perdent pas de temps.

 

Une publicité en suit une autre tous les jours.

 

 metropole-pub-2-copie-1.jpg

  Aie ! Dites donc ? Ce n’est pas Claudi, là ?

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 22:00

Regardez ce que je viens de voir dans les galeries du Métropole.

 

Ce n’est pas croyable.

 

Mon roman est publié.

 

metropole-pub.jpg

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 22:00

Eh oui ! J'avais pensé à tout, sauf à ça !

 

Je me suis dit : tant qu'à le faire, je vais y mettre le paquet.

 

Alors, j'ai conçu une histoire mêlant criminels et pauvres victimes. D'un côté, on suivait les péripéties d'un vendeur d'armes, trafiquant sur une très grande échelle la livraison de matériels stratégiques à bord de son superyacht (Le Princess Dream) et de l'autre côté, on observait les allées et venues d'une jeune fille douée, brillante et très jolie qui a la chance de se retrouver aux premières loges d'un magazine très en vue.

 

De leur rencontre va naître (évidemment) une idylle qui mènera la jeune demoiselle à la présidence d'un nouveau magazine révolutionnaire, doublée d'une émission télévisuelle : Le Jeu Mondial de la Toile.

 

- Quoi ? C'est tout ? Direz-vous ?

 

- Euh ! Oui.

 

- Ben alors ! Où sont les monstres, la violence et le sexe ?

 

- Il y a de tout cela, rassurez-vous.

 

- Alors ! C'est quoi le problème ?

 

- Demandez-leur. Moi, je ne le sais pas. Ils n’ont pas aimé et ne veulent pas publier.editeurs_sn635.jpg

 

-  Ha ! Dommage.

 

 

Eh oui ! Dommage. J'avais pensé à tout, sauf à ça ! Ils n'aiment pas. Je parle des éditeurs qui préfèrent se cacher derrière leur ligne éditoriale. Comme ils sont beaucoup à avoir dit : non. Je suppose qu'ils ont raison. Alors, je vais revoir le tout, mais ce sera après mon retour de voyage. Cette fois, je vous en passe en papier (remarquez l'allusion), ça va barder !

 

Et vous serez aux premières loges.

 

Ne me remerciez pas. Dites leur merci à cette bande d'enfoirés.

 

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 00:12

angedemon.jpg

Il nous arrive tous, un jour ou l'autre, de ne pas avoir envie de communiquer. Le vieil adage qui dit : le silence est d'or, prend alors toute sa signification. Tant qu'à dire des conneries, vaut mieux se taire, n'est-ce pas ?

 

Il se trouve que je suis déçu. J'ai consacré un nombre ahurissant d'heures à l'écriture d'un roman dont aucun éditeur ne veut. Remarquez que je parle d'une quarantaine de maisons d'éditions, ce qui représente un faible pourcentage des éditeurs français qui ont reçu mon manuscrit.

 

Plusieurs parmi vous ont pourtant aimé les aventures que j'ai racontées ici sur mon blogue et plusieurs m'ont également louangé sur ma main d'écriture. J'en suis très flatté et j'en profite pour vous remercier de vos gentils commentaires.

 

Le monde de l'édition est un monde en soi. Les grandes maisons sont complètement submergées de manuscrits.  Actes Sud reçoit à lui seul, par exemple, 500 manuscrits par mois. Vous imaginez ? Sur 1000 envois on publiera 1 seul roman. Alors que font les écrivains ? Ils publient à compte d'auteur. C'est presque trop facile.

 

Je vais vous faire une confidence. Lorsque j'ai lu, il y a plusieurs années, Anges et Démons de Dan Brown, je me suis dit que je pouvais faire tout aussi bien (et même mieux) que lui. Je suis mal placé pour dire si j'ai réussi, mais chose certaine j'ai oublié que le petit scandale soulevé par son Code Da Vinci pouvait à lui seul éveiller suffisamment d'intérêt pour voir tous ses romans trouver preneur. Il me manque cet élément : le scandale.

 

Alors, j'ai le spleen... Vais-je oser considérer le sacrilège, comme l'a fait Dan ?

 

Oui, je sais ! Vous avez déjà le mot à la bouche.

 

 

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