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Présentation

  • : Ari Amy
  • : Description : Soyez le bienvenu ! Il y a dans les pages qui font ce blogue tout l'univers d'Ari Amy, ce milliardaire qui a fait fortune à vendre, ce qu'il aime appeler, du matériel stratégique. Il sera dévié de son parcours mouvementé par Claudi Robert, cette jeune beauté venue changer les règles du spectacle avec son idée du Jeu Mondial. À sa grande surprise, les entreprises du caïd vont se diversifier et suivront, tout comme sa libido endormie, une route manifestement imprévue.
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  • Robert Alair
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 22:00

Les temps sont durs et les peuples de la Terre ne semblent pas vouloir s'organiser pour aller mieux. Les guerres succèdent aux autres guerres pour des motifs toujours aussi idiots : hégémonie, envie, vengeance. Rien de bien intelligent. Et les hommes vont toujours d'âge en âge vers les mêmes solutions faciles, c'est-à-dire :

 

- AH! Tu ne veux pas partager ma foi, mes désirs et besoins. Très bien ! Je vais t'éliminer.

 

Voilà de quoi ravir Ari Amy, votre humble armurier.

 

- Remarquez, chers amis (c'est Ari qui parle), j'aimerais bien mieux vendre du chocolat, mais le business, c'est le business et ma fortune, je la dois à ceux qui ne veulent pas s'adonner à la démocratie. Alors moi, je vends des armes à ceux qui en ont besoin et je ne suis pas là pour leur faire la morale. Vous voulez vous entretuer ; pas de problème, j'ai un prix pour chacun des bidules dont vous avez besoin pour satisfaire vos nécessités.

 

Vous l'avez lu sur les pages qui précèdent, la vie n'a pas été tout rose pour l'auteur de ce blogue. En effet ! Après une brève tentative pour blanchir son argent dans le domaine du showbiz, en créant Le Jeu Mondial de la Toile, votre humble serviteur a dû abandonner accessoirement son yacht (Le Princess Dream) et prendre la fuite avant d'être faussement accusé de collusion avec la très belle et très gentille Claudi Robert. Tout un tas de billevesées sans fondement et sans aucune preuve, vous n'en doutez point. D'ailleurs, le vilain Carlos Xiaviera a été arrêté et formellement accusé.

 

Alors ! Vous serez heureux d'apprendre que c'est : business as usual pour le grand Ari Amy et toutes vos commandes seront traitées avec la même diligence que vous avez connue par le passé. N'hésitez donc pas à acheter dès à présent tout ce dont il vous faut pour régenter votre domaine et ainsi prospérer... à mort. 

 

banniere-ari-globe1

 

 

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 22:23

Pour ceux qui comptent ne plus revenir sur ce blogue. Disons-le tout de suite. Vous allez manquer le bateau :

 

princess-yacht

Le Princess Dream

 

Des centaines de blogueurs venus visiter ce blogue y reviennent jour après jour pour découvrir les dernières nouvelles au sujet de Claudi Robert, cette jeune femme accusée à tort de comploter pour obtenir du temps d'antenne sur la chaîne très courue de TFr7. Elle voulait s'établir comme la reine du showbiz avec LE JEU MONDIAL DE LA TOILE. Vous dire le nombre de lecteurs qui a correspondu personnellement avec moi pour m'interroger sur le sort de Claudi et d'Ari, je ne les compte plus. Certains (certaines surtout) m'ont avoué avoir pleuré en apprenant l'arrestation de mademoiselle Claudi. Pensez-y à deux fois avant de ne plus revenir.

 

Ah oui ! J'oubliais de mentionner : du 15 octobre au 15 novembre, je serai en France, au Royaume-Uni, en Italie, en Grèce, en Turquie et à Monaco pour aller repérer les lieux. Tout bon écrivain se doit de visiter les endroits où il compte faire voyager ces personnages. Pendant cette période, je serai moins disponible, mais je pourrais quand même vous donner de mes nouvelles. C'est ainsi que des photos de mes pérégrinations couvriront les pages de ce blogue. Voilà une raison de demeurer fidèle.

 

Je réponds à tous les commentaires, même ceux qui s'autorisent des privautés mal venues.

 

Ciao

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 00:54

Comme vous n'avez aucune chance de comprendre ce qui se passe sur ce blogue, permettez-moi (je suis l'auteur du blogue) de me présenter.

 

Mon nom est Ari Amy. Bon, disons-le tout de suite, ce n'est pas mon vrai nom. En fait, Ari Amy est un caïd très riche qui a fait fortune dans la vente d'armes et qui, si jamais vous lisez les centaines de pages qui précèdent, s'est lancé dans le domaine du showbiz, notamment avec LE JEU MONDIAL DE LA TOILE.

 

Je vous explique encore. Ce JEU est un roman sur lequel je pioche depuis des mois et que j'ai transcrit (en partie) sur ce blogue. Il raconte les aventures d'Ari et bien évidemment celles de Claudi Robert, l'égérie de l'homme d'affaires. Ils vont se rencontrer (c'est déjà tout écrit) et une suite d'évènements vont contrecarrer leurs projets.

 

Je suis à écrire la suite (le Tome III). Je, c'est moi, Robert Alair, l'auteur. Sur ce blogue, je me suis mis dans la peau d'Ari Amy.

 

Ne m'en tenez pas rigueur. C'était pour m'amuser. Autrement, il m'arrive de commettre des billets pour mon plaisir et j'ai le bonheur de voir circuler dans les commentaires des amis (es) qui sont très indulgents avec moi.

 

Je vous souhaite la bienvenue.

 

lejeumondial-banniere

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 01:00

Le tome le plus attendu de la saga de Claudi Robert et Ari Amy n'est pas encore disponible pour votre appréciation. Je sais, c'est bien dommage, car vous n'aviez jamais été aussi disponible pour le lire.

 

L'auteur est englué dans un travail servile pour gagner sa vie et n'a que très peu de temps à consacrer à l'écriture. C'est bien connu ; tous les grands auteurs se battent pour concilier vie réelle et ses vicissitudes et vie créative où l'imagination débridée se laisse aller à poursuivre des chimères. La plupart n'y arrivent jamais, laissant en plan une oeuvre qui aurait pu connaitre du succès. D'autres sombrent dans l'alcool avant de composer les derniers chapitres et les autres se découragent de voir une maison les éditer. Seuls, quelques irréductibles connaissent le succès et bien souvent il arrive au déclin de ceux-ci.

 

Ne vous découragez pas ! L'oeuvre est plus grande que son maître et le destin de cette jeune femme intrépide et volontaire n'a pas croisé le chemin de ce caïd par hasard. Leurs routes sont, au moment où le TOME II s'achève, tous azimuts, mais la force de caractère qui les distingue les conduira irrémédiablement à se retrouver. N'en doutez même pas !

 

C'est dans l'adversité que les grands caractères se forgent et vous savez que ni Claudi, ni Ari ne sont du genre à reculer devant l'adversité.

 

icone-moyen

 

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 00:00

En effet ! Que nous prépare-t-il, car moi je ne vois rien à l'horizon.

Je sais ! Vous êtes ici pour lire la suite des aventures de Claudi.

Je vous comprends. Moi même j'aimerais bien savoir ce qui va arriver à cette jeune femme.

Que va-t-elle faire de tout cet argent laisser par Ari Amy dans un compte en banque pour elle ?

Est-elle vraiment tombée amoureuse d'Ari ? Un homme 20 ans plus âgé qu'elle.

Et sa carrière d'intervieweuse alors ? Et ce fameux Jeu Mondial de la Toile, qu'en est-il ?

Ah ! Toutes ces questions et pas de réponses !

 

 logo-lejeu-claudi2

 

 

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 01:00

Ariamy-ban-t

 

Ari Amy.

 

Voilà quelqu'un à compter parmi ses amis, faute de quoi...

 

Cliquez sur l'image.

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 22:09

Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.

Vous êtes prié de ne pas faire de copie, ce texte est scellé sous droits d'auteur.

Vous êtes autorisé à revenir lire ces lignes à votre satisfaction complète et entière.

Vous êtes mineur, vous n'êtes pas bienvenu, ici.

 

Anthony devina que la mission de vengeance contre Ari Amy qu’ils avaient planifiée ensemble se soldait par un lamentable échec. Au lieu de voir le propriétaire du Princess Dream rouler dans les escaliers jusqu’à sa mort, c’est Carlos, troué de deux balles, qui faisait les frais de l’opération. La vie de son ami prenait une tournure tragique à moins qu’il intervienne au plus vite.

 

- Amigo ! Plaisanta Anthony en imitant Carlos. J’é une problème, là.

- Une problemo ?

- Si !

- Quel problemo ?

- Où as-tu planqué les sous exactement ?

- Hein ! Fit difficilement le Colombien à l’agonie. Quels sous ?

- L’argent qu’Ari a fait transporter à bord du Princess Dream, amigo.

- Mais ! S’exclama Carlos. J’é né pas les dinero ? C’est Ari qui l’a. Les sacs sont sur yacht.

 

Très calme, cette fois, monsieur Locas prit le temps de respirer à fond. Il consulta sa montre, évaluant ses chances de changer de cap, puis se ravisant il revint à son ami. Ce dernier râlait affreusement. Anthony savait pertinemment que les sacs à bord du yacht ne contenaient plus le butin en provenance des vols de banque, mais du papier journal habilement substitué par les soins de son grand ami, le mourant.

 

- Je te fais une proposition, avança-t-il. Tu me dis où se trouve l’argent et j’irai te secourir.

- Mais amigo ! Supplia Carlos. As-tu oublié que j’é té sauvé la vie à Margarita ?

 

Le Colombien jouait une belle carte, mais hélas, pour lui, son partenaire possédait tout le reste du jeu. Certes, cela s’avérait judicieux de rappeler qu’en effet, il accourut le rescaper dans des circonstances similaires. Hélas ! Recourir à la sensiblerie avec des gens qui n’ont pas de cœur n'est pas une stratégie gagnante.

 

- Non ! Répondit froidement Anthony. Moi, je t’ai dit où trouver la cachette d’Ariboudine pour te saisir du trésor, et toi, tu as changé les dollars pour du vulgaire papier journal, mon ami.

 

Un silence éloquent et lourd de conséquences pour Carlos suivit.

 

- J’é né comprends pas, amigo. Fit-il, feignant l’innocence.

- Moi non plus, amigo.

 

Placé devant ce dilemme, Carlos n’avait pas vraiment le choix. L’idée de voir Anthony jouir de la fortune dissimulée par ses soins lors du transport de Berne à Gênes le répugnait. Hélas ! Pour lui, la mort l’attendait à coup sûr et il le savait. La crainte de dévoiler l’endroit précis où se trouvaient les vrais sacs bourrés d’argent et celle de finir abandonner pour mourir le hantait plus que tout. Il n’avait pourtant aucune garantie qu’Anthony lui porte assistance ? Il dut pourtant s’y résigner.

 

- Très bien, amigo ! J’é té fais confiance, mais tu dois venir m’aider inmediatamente, car j’é perds mon sang.

- Je vais te secourir.

- Prends une crayon.

- C’est fait !

- 45 degrés 43 45.17 Nord et 9 degrés 01 35.93 Est.

- Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?

- C’est la position GPS, amigo.

- Ha ! Astucieux mon ami. C’est où ?

- En Italie, à 32 km au nord de Milano.

- Très bien ! Tiens bon, j’arrive.

 

 

 

Au bout de son sang, Carlos sombrait dans les bras de l’ex-intervieweuse qui se laissa choir sur le dos étalant son impressionnante chevelure écarlate à même les draps blancs. Il ne savait plus très bien s'il était à mourir dans cet escalier de malheur où si les bras de Claudi l'entouraient de sa douceur. Elle l'attira vers elle pour l'embrasser encore, mais il voulait prendre possession de la demoiselle. Il lui souleva le bassin pour ainsi se laisser glisser lentement en son antre. Elle échappa un murmure qui interpella l’homme jusqu’au fond de son âme. Bien qu'il soit probablement difficile d'évaluer le réel degré de conscience habitant le bonhomme à cet instant. Était-il vraiment complètement présent à ce jeu des corps ? S’appuyant très peu sur elle pour lui laisser tout le loisir de le sentir, il s'activa progressivement suivant les réactions de celle-ci. Elle pouvait apprécier chaque mouvement l'absorber et la plonger en extase devant le regard brulant de désir du Don Juan. Nul doute qu’il allait la conduire au paroxysme du plaisir sexuel. Sans autre avertissement, il l’empoigna et la retourna sur elle-même, comme si elle était aussi légère qu’une poupée. La voilà offerte à la concupiscence du caïd. Il la saisit en levrette, cette fois, redoublant sa félicité. Chaque coup devenait une semonce tandis que ses fesses rebondies recevaient une volée et que la jouissance montait d’un cran à chaque élan. Elle avait perdu conscience depuis ce moment. Il repoussa sa tête en direction du matelas pour jouir du spectacle. La ligne de son bassin configurait un cœur vu sous cet angle et  cette position imprimait au corps de la jeune demoiselle une escalade de soubresauts délicieux qu'elle ne comprenait pas. Elle se sentait comme une geisha soumise prête à se livrer aux moindres de ces désirs, pourvu que jamais cela ne cesse. Molle comme de la pâte à modeler, il la renversa sur le coté, lui retenant une jambe pour s’introduire de nouveau. Cette fois, elle n’y tenait plus, c’était trop bon. Lui aussi haletait comme un cheval en fin de course, y allant de son dernier grand trot, il s'enfonçait en elle, anticipant cette fin libératoire qui explosa contre toute attente. Il s’effondra à bout de souffle sur elle pour la couvrir de baisers.

    amant-main.jpg

 

Anthony raccrocha. Il songea que les chances qu’il parvienne au siège social de TFr7 à Paris et qu’il retrouve son Carlos vivant étaient bien mince. Il signifia tout de même à son pilote de changer de direction et de s’aligner sur la tour Eiffel. Un relent de conscience lui rappela que sans l’aide de ce dernier il ne serait pas là pour jouer au héros. Ce Carlos avait joué avec le feu toute sa vie. Qu’il se retrouve à l’article de la mort aussi jeune, témoignait de son mépris du danger et de sa désinvolture. Ne méritait-il pas ce qui arrivait ?

 

- Et puis, se dit Anthony. Rien n’assure qu’il ne se serait pas enfui avec le magot, maintenant qu’il l’avait en main. Tu te pensais malin, mais tu devrais savoir que je suis le plus fort !

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 22:00

Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.

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Vous êtes mineur, vous n'êtes pas bienvenu, ici.

 

 

Ces deux balles triturant son corps le faisait atrocement souffrir maintenant. Il voyait le visage de Pablo Escobar le supplier de ne pas déserter son poste et de résister aux forces de la CIA, venues les assaillir sur leur terre natale. Les boulets des chars d’assaut américains secondant la milice colombienne ne firent qu’une bouchée de leur château fort et c’est in extremis que Carlos s’enfuit, abandonnant son chef à la mort.

 

Le Colombien chercha partout son cellulaire avec ses mains entachées de sang. Il songea que seul Anthony Locas pourrait l’aider maintenant. C’était ce dernier qui était véritablement responsable de ce qui arrivait. C’est lui qui l’avait envoyé dans cette mission de vengeance contre Ariboudine Amy ? Des images de la villa d’Anthony complètement détruite par cet hélicoptère, équipé d’une mitrailleuse et dépêché par Ari lui revenaient en tête alors qu’il tentait en vain de stopper l'hémorragie lui parcourant les entrailles.

 

- Tony viendra à mon sécours, se persuada-t-il. Il me doit bien ça.

 

Carlos l’avait sauvé d’une mort certaine alors qu’il baignait dans son sang au bord de la piscine couronnant sa fastueuse résidence sise sur les berges d’une immense plage privée de l’île de Margarita ?

 

- Chacun son tour, pensa-t-il. Il doit venir en aide ahora.

 

Il réussi à attraper finalement son téléphone et composa celui de son grand ami.

 

- Amigo ! Por favor. J’é t’en prie, il faut que tu m’aides…

- Carlos ! Carlos où es-tu, mon ami ?

- J’é suis dans les escaliers.

- Les escaliers ! Quels escaliers ?

- Les escaliers conduisant au toit, merda.

- Hein ! Quel toit ?

- Lés toits de TFr7, crétine.

- Je ne comprends pas, Carlos. Que se passe-t-il ?

- J’é suis blessé, amigo. Il faut que tu viennes secourir. J’é t’en pries.

 

 

 

Carlos revit dans un flash sa Claudi nue et offerte à son plaisir. Maintenant qu’elle avait joui, ilhomme-nu1.jpg l’entraina vers la chambre de sa suite, plongeant son regard sur le Greater Montreal. Il l’assied sur le bord du grand lit et lui présenta son phallus à sucer. Il était beau comme un Dieu ce Carlos. Sa tête aux cheveux noirs frisotait beaucoup d’insolence tandis que ses pectoraux gonflaient une machine musclée, prête à donner des montagnes de virilité. Son organe, quant à lui, n’avait rien à envier aux vedettes des meilleurs films porno et c’est tout naturellement qu’elle le porta à sa bouche.

 

- Ouhhhhhhhhhhhhh ! Soupira le bonhomme électrisé.

 

Elle avait enjoint sa main à sa bouche pour caresser avec vigueur le membre érigé du caïd. Telle une professionnelle, elle retenait avec son autre main la bourse du type qui la regardait d’en haut, procéder à toutes ces petites bassesses, en bas. Elle se pencha pour laisser le pénis s’allonger le long de sa bouche gourmande, terminant sa course sur le gland qui tournait déjà au mauve. Le jeune homme s’activa tout à coup plongeant son organe au fond de la bouche de la demoiselle et répéta ce mouvement dans un impeccable silence. Elle avait pris goût à la chose puisqu’elle accompagnait chacun de ces mouvements par une vive masturbation, créant tout un émoi chez le Colombien, redressé quasiment sur la pointe de ses pieds et au bord de déverser le contenu de sa prestation.

 

Cette suite en avait vu d’autres, à n’en point douter, mais là, devant la splendeur de Claudi, les lentilles des caméras d’un réalisateur doué pour tourner ce genre de film, aurait vite vu un voile de brume s’intaller.

 

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 22:00

 

Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.

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Vous êtes mineur, vous n'êtes pas bienvenu, ici.

 

 

Comment oublier cet ascenseur aux parois métalliques glacées sur lesquelles Carlos poussa Claudi. Son genou s’enfila entre les cuisses de la demoiselle dont il tenait les deux bras au-dessus de sa tête. Ses lèvres à 2 cm des siennes tandis que les cloches annonçant les étages résonnaient comme une musique infernale conduisant le couple au 12e étage de cet hôtel moderne qui se targuait d’avoir la décoration tant courue aujourd’hui et qu’on surnommait d’un air snob : la déco zen. Il frôlait ses lèvres sur celles de sa compagne laissant échapper aux commissures des baisers délicats, tandis que lentement il lui descendait les bras vers son dos la gardant d’une seule main prisonnière de son approche. Il s’appuya fermement sur sa poitrine haletante pour sentir ses généreuses rondeurs tandis que sa bouche s’entrouvrait pour esquisser un baiser prolongé. Claudi n’opposa aucune résistance et sa langue suivit les mouvements lents et prononcés du Don Juan. Bientôt, elle sentit la main libre lui empoigner un sein et chercher les boutons à défaire, mais il n’eut pas le temps de compléter son geste que la porte s’ouvrit découvrant le long corridor de l’étage où le jeune homme se promettait de proposer sa candidature à

un déshabillage complet de la jeune femme. Elle en profita pour s’éclipser et proclamer devant le corridor vacant.

 

- Douzième étage ! Bienvenu monsieur, ici nous avons le département des petites culottes et soutiens-gorge, ainsi qu’un rayon complet de porte-jarretelles…

 

Elle s’en allait vers la droite et lui, il indiquait plutôt la gauche. Qu’à cela ne tienne, elle fit demi-tour pour continuer son boniment.

 

- Vous y trouverez également un assortiment d’escarpins directement importé d’Italie, ainsi que…

- Senorita, par favor. J’é vous prie d’entrer, c’est par ici…

 

Il venait d’ouvrir la porte de sa suite et lui indiquait le chemin.

  suite-hotel.jpg

 

Dès que la porte se referma sur les deux complices, ils se jetèrent littéralement l’un sur l’autre et on assista alors à un déshabillage en accéléré tandis qu’ils lançaient leur vêtement à la volée ici et là. Allez savoir comment elle se retrouva en petite tenue les mains accolées au mur de l’entrée et lui derrière elle comme s’il allait procéder à une fouille.

 

- Vous êtes en état d’arrestationne, mademoiselle ! J’é vais vous fouiller.

 

Le voilà en train de détacher son soutien-gorge laissant rebondir gentiment sa paire de seins pour aussitôt descendre lentement sa petite culotte qu’il glissa le long de ses longues jambes jusqu’au plancher. Il ne lui restait que ces escarpins pour unique défense. Mêlant audace et témérité, le Don Juan s’enfila entre les deux jambes de la demoiselle pour se retrouver maintenant face à son pubis. Sans autre avertissement, sa bouche chercha le sexe de l’interpellée tandis que sa langue déjà savourait les délicates lèvres conduisant au clitoris.

 

- Monsieur l’inspecteur, dit la demoiselle. Est-ce légal cette procédure ?

 

Affairé à son inspection, c’est un chuchotis incompréhensible en guise de réponse qui lui revint. Le Colombien semblait avoir trouvé la clé conduisant aux plaisirs, car la dame laissa échapper un miaulement bientôt suivi de soupirs plaintifs, rapidement devenu des geignements langoureux. De toute évidence, on allait assister à un orgasme. Contre toute attente, l’inspecteur se releva sans avertir pour saisir Claudi et la retourner contre le mur. Sa bouche s’accola de nouveau sur celle de son hôte. Il écarta les jambes de celle-ci pour y glisser son phallus érigé et en un instant celui-ci compléta le mouvement de va-et-vient que sa langue opérait quelques instants plus tôt, amenant la demoiselle à jouir pour la première fois de cette soirée.

 

- C'est parfaitement légal, mademoiselle.

 

 

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 22:00

Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.

Vous êtes prié de ne pas faire de copie, ce texte est scellé sous droits d'auteur.

Vous êtes autorisé à revenir lire ces lignes à votre satisfaction complète et entière.

Vous êtes mineur, vous n'êtes pas bienvenu, ici.

 

 

La première balle fit mouche sur le coup. Carlos la reçut tout juste entre sa clavicule gauche et son poumon. Elle le foudroya séance tenante. Le deuxième projectile le siphonna comme une torpille insidieuse. Elle tritura ses intestins, le perforant sans ménagement telle une vrille. Il tomba à la renverse tandis que les deux balles le traversant percutaient le mur de blocs de ciment derrière lui. Il bascula dans l’escalier, tentant désespérément de s’accrocher à la rampe. Il roula sur lui-même plusieurs fois et chut finalement sur le palier plus bas. Son corps athlétique temporisa ses souffrances, mais quand le sang se mit à couler entre ses doigts, dégoulinant sur son pantalon, il comprit qu’il ne pourrait pas riposter. Son magnum déboulait, lui aussi, loin de la main qui le retenait, un instant plus tôt. Les dés étaient jetés.

 

Sa vie lui revint comme bousculée d’images se superposant devant ses yeux. Le premier cliché s’imposa comme un zoom panoramique sur cette incroyable beauté nue étendue sur le lit de cette chambre d’hôtel qu’il avait réservée. C'est ainsi qu'il se l'imaginait : claudi-fantasme3.jpgJamais, même dans ses rêves les plus érotiques, il ne pensait voir la femme exalter autant de passion et de désirs chez lui. Cette flamboyante rousse rencontrée par hasard dans ce night-club de Montréal le prédestinait à une aventure qu’il ne s’attendait pas à vivre. Dès qu’il l’aperçut sur le plancher de danse, il sut qu’elle serait sienne. Il surnageait ce groupe de pseudo mâles, prêt à s’agenouiller pour la servir tandis qu’il commandait une bouteille de champagne pour elle. D’un geste élégant, il lui présenta une coupe et leurs yeux fusionnèrent ; le jeu de la séduction balaya toute la compétition. Par la suite, il exécuta quelques pas de danse pour lui faire plaisir, mais l’invita bien vite à le suivre.

 

 

 

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